Voici la retransmission vidéo de la « Sainte Messe du Vendredi de la Passion » (Feria VI infra Hebdomadam Passionis) avec mémoire de Notre-Dame des Sept-Douleurs (Septem Doloribus Beatæ Mariæ Virginis) et avec l’ensemble des Textes Liturgiques (Introït « Miserere mihi, Domine » ; Collecte ; Lecture de la prière du prophète Jérémie 17, 13-18 ; Graduel psaume 34, 20.22 ; Trait psaumes 102, 10 ; 78, 8-9 ; Évangile selon Saint Jean 11, 47-54 de Notre Seigneur Jésus-Christ sur la prophétie de Caïphe ; Offertoire psaume 118, 12.121.42 ; Secrète ; Préface de la Sainte Croix ; Communion psaume 26, 12 ; PostCommunion ; Oraison sur le peuple) en latin et en français selon le Rite Tridentin de la Messe de Saint Pie V dite « Messe de Toujours » célébrée en l'église Saint Nicolas du Chardonnet à Paris par Monsieur l’Abbé Denys de Crécy
La Sainte Messe du Vendredi de la Passion (Feria VI infra Hebdomadam Passionis) :
IIIème classe - Station à Saint-Étienne-au-Mont-Coelius – Ornements violets
L'église de ce jour est une antique construction en forme de rotonde qui fut consacrée par le pape Simplicius au Ve siècle. Elle fut dédiée au premier des Martyrs, dont les reliques venaient d'être apportées à Rome. Dans les textes de cette sainte Messe, nous entendons le Christ se plaindre de ceux qui L'abandonnent, et de ceux qui, par leurs péchés, Le crucifient de nouveau et « délaissent la source des eaux vives » (Lecture). L'Évangile annonce les fruits de rédemption qui découleront de sa mort.
Aujourd'hui, on fait mémoire de Notre-Dame des Sept-Douleurs.
INTROÏT (psaume 30, 10.16.18) Ce Psaume 30 décrit prophétiquement l’angoisse de Jésus durant sa Passion ; il prophétise aussi sa confiance inébranlable, et c'est un de ses versets que Jésus reprendra sur la Croix : « Père, entre tes mains je remets mon esprit ». Miserere mihi, Domine, quóniam tríbulor : líbera me, et éripe me de mánibus inimicórum meórum et a persequéntibus me : Dómine, non confúndar, quóniam invocávi te.
Ayez pitié de moi, Seigneur, car je suis très affligé, délivrez-moi et arrachez-moi de la main de mes ennemis et de mes persécuteurs. Seigneur, que je ne sois pas confondu, car je Vous ai invoqué. Ps. 30, 2 : In te, Dómine, sperávi, non confúndar in ætérnum : in iustítia tua libera me. Miserére mihi.
Ps. 30, 2 : J’ai espéré en Vous, Seigneur, que je ne sois jamais confondu ; dans votre justice, délivrez-moi.
Puis on répète l'antienne « Miserere mihi, Domine » sans dire le Gloria.
COLLECTE
Nous supplions le Seigneur, dans la Collecte, de répandre dans notre cœur l’esprit de contrition, afin qu’expiant nos péchés durant la vie présente au moyen de la pénitence, nous puissions échapper à la peine éternelle. Córdibus nostris, quǽsumus, Dómine, grátiam tuam benígnus infúnde : ut peccáta nostra castigatióne voluntária cohibéntes, temporáliter pótius macerémur, quam súppliciis deputémur ætérnis. Per Dominum nostrum Iesum Christum Filium tuum, qui tecum vivit et regnat, in unitate Spiritus Sancti, Deus, per omnia saecula saeculorum. Amen.
Daignez, Seigneur, dans votre bonté, répandre votre Grâce en nos cœurs ; afin que, réprimant nos péchés par les châtiments volontaires, nous souffrions des peines temporelles, plutôt que d’être condamnés aux supplices éternels. Par Notre-Seigneur Jésus-Christ, qui, étant Dieu, vit et règne avec Vous, en l’unité du Saint-Esprit, dans tous les siècles des siècles. Ainsi soit-il.
Mémoire de Notre-Dame des Sept-Douleurs Deus, in cuius passióne, secúndum Simeónis prophétiam, dulcíssimam ánimam gloriósæ Vírginis et Matris Maríæ dolóris gladius pertransívit : concéde propítius ; ut, qui transfixiónem eius et passiónem venerándo recólimus, gloriósis méritis et précibus ómnium Sanctórum Cruci fidéliter astántium intercedéntibus, passiónis tuæ efféctum felícem consequámur : Qui vivis…
Ô Dieu, dans la Passion duquel suivant la prophétie de Siméon, un glaive de douleur a percé le cœur très doux de la glorieuse Vierge Marie, votre Mère, faites, dans votre miséricorde, que célébrant avec respect le souvenir de ses douleurs, nous recueillions les heureux fruits de votre Passion : Vous qui étant Dieu, vivez et régnez…
LECTURE du prophète Jérémie 17, 13-18 Le prophète Jérémie est une figure touchante du Christ en sa Passion : par les résistances qu'il rencontre auprès de ses contemporains, par ses souffrances, par les accents de sa prière. In diébus illis : Dixit Ieremías : Dómine, omnes, qui te derelínquunt, confundéntur : recedéntes a te in terra scribéntur : quóniam dereliquérunt venam aquárum vivéntium Dóminum. Sana me. Dómine, et sanábor : salvum me fac, et salvus ero : quóniam laus mea tu es. Ecce, ipsi dicunt ad me : Ubi est verbum Dómini ? Véniat. Et ego non sum turbátus, te pastórem sequens : et diem hóminis non desiderávi, tu scis. Quod egréssum est de lábiis meis, rectum in conspéctu tuo fuit. Non sis tu mihi formídini, spes mea tu in die afflictiónis. Confundántur, qui me persequúntur, et non confúndar ego : páveant illi, et non páveam ego. Induc super eos diem afflictiónis, et dúplici contritióne cóntere eos, Dómine, Deus noster.
En ces jours-là, Jérémie dit : Seigneur, tous ceux qui Vous abandonnent seront confondus ; ceux qui se retirent de Vous seront écrits sur la terre, parce qu’ils ont abandonné le Seigneur, la source des eaux vives. Guérissez-moi, Seigneur, et je serai guéri ; sauvez-moi, et je serai sauvé, car Vous êtes ma gloire. Voici qu’ils me disent : Où est la parole du Seigneur ? Qu’elle s’accomplisse. Et moi je n’ai pas été troublé en Vous suivant comme mon pasteur, et je n’ai pas désiré le jour de l’homme, Vous le savez : ce qui est sorti de mes lèvres a été droit devant Vous. Ne soyez pas pour moi un sujet d’effroi Vous qui êtes mon espérance au jour de l’affliction. Que ceux qui me persécutent soient confondus, et que je ne sois pas confondu moi-même ; qu’ils aient peur, et que je n’aie pas peur ; faites venir sur eux le jour du malheur, et brisez-les d’un double brisement, ô Seigneur notre Dieu.
GRADUEL (psaume 34, 20.22) Le Graduel tiré du Psaume 34 décrit la duplicité et la malice des ennemis du Juste Pacífice loquebántur mihi inimíci mei : et in ira molésti erant mihi.
En m’adressant des paroles de paix mes ennemis dans leur colère méditaient de perfides desseins. V/. Vidísti, Dómine, ne síleas : ne discédas a me.
V/. Vous avez vu, Seigneur ; ne restez pas en silence ; ne Vous éloignez pas de moi.
TRAIT (psaumes 102, 10 ; 78, 8-9) Le Trait suivant est dit aux Messes des lundis, mercredis et vendredis jusqu’au Mercredi de la Semaine Sainte inclus sauf au Mercredi des Quatre-Temps : Domine, non secúndum peccáta nostra, quæ fécimus nos : neque secúndum iniquitátes nostras retríbuas nobis.
Seigneur, ne nous traitez pas selon nos péchés, et ne nous punissez pas selon nos iniquités.
V/. Dómine, ne memíneris iniquitátum nostrarum antiquarum : cito antícipent nos misericórdiæ tuæ, quia páuperes facti sumus nimis. (Ici on se met à genoux)
V/. Seigneur, ne Vous souvenez plus de nos anciennes iniquités ; que vos Miséricordes viennent en hâte au-devant de nous, car nous sommes réduits à la dernière misère.
V/. Adiuva nos, Deus, salutáris noster : et propter glóriam nóminis tui, Dómine, libera nos : et propítius esto peccátis nostris, propter nomen tuum.
V/. Aidez-nous, ô Dieu notre Sauveur, et pour la Gloire de votre Nom, Seigneur, délivrez-nous et pardonnez-nous nos péchés, à cause de votre Nom.
ÉVANGILE (Jean 11, 47-54) Les Pontifes et les Pharisiens décident la Mort de Jésus, par peur d'une réaction des Romains. « Ils craignirent de perdre les biens temporels, et ils ne songèrent pas aux biens de la Vie éternelle : c'est ainsi qu'ils perdirent les uns et les autres » (Saint Augustin) + Sequéntia sancti Evangélii secundum Ioánnem XI, 47-54
Lecture du Saint Évangile selon Saint Jean 11, 47-54 In illo témpore : Collegérunt pontífices et pharisǽi concílium advérsus Iesum, et dicébant : Quid fácimus, quia hic homo multa signa facit ? Si dimíttimus eum sic, omnes credent in eum : et vénient Románi, et tollent nostrum locum et gentem. Unus autem ex ipsis, Cáiphas nómine, cum esset póntifex anni illíus, dixit eis : Vos nescítis quidquam, nec cogitátis, quia expédit vobis, ut unus moriátur homo pro pópulo, et non tota gens péreat. Hoc autem a semetípso non dixit : sed cum esset póntifex anni illíus, prophetávit, quod Iesus moritúrus erat pro gente, et non tantum pro gente, sed ut fílios Dei, qui erant dispérsi, congregáret in unum. Ab illo ergo die cogitavérunt, ut interfícerent eum. Iesus ergo iam non in palam ambulábat apud Iud.os : sed ábiit in regiónem iuxta desértum, in civitátem, quæ dícitur Ephrem, et ibi morabátur cum discípulis suis.
En ce temps-là, les Pontifes et les Pharisiens assemblèrent le conseil contre Jésus et ils disaient : Que ferons-nous ? Car cet homme fait beaucoup de miracles. Si nous le laissons agir ainsi, tous croiront en lui, et les Romains viendront, et ruineront notre ville et notre nation. Mais l’un d’eux, nommé Caïphe, qui était le grand-prêtre de cette année-là, leur dit : Vous n’y entendez rien, et vous ne réfléchissez pas qu’il vaut mieux pour vous qu’un seul homme meure pour le peuple, et que la nation entière ne périsse point. Or il ne dit pas cela de lui-même, mais, étant grand-prêtre cette année-là, il prophétisa que Jésus devait mourir pour la nation, et non seulement pour la nation, mais aussi pour rassembler en un seul corps les enfants de Dieu qui étaient dispersés. A partir de ce jour, ils pensaient donc à Le faire mourir. C’est pourquoi Jésus ne se montrait plus ouvertement parmi les Juifs ; mais Il s’en alla dans une région voisine du désert, dans une ville nommée Ephrem et Il demeurait là avec ses disciples.
OFFERTOIRE (psaume 118, 12.121.42) Le verset pour l’oblation est tiré du Psaume 118 Benedíctus es, Dómine, doce me iustificatiónes tuas : et non tradas calumniántibus me supérbis : et respondébo exprobrántibus mihi verbum.
Vous êtes béni, Seigneur : enseignez-moi vos Commandements ; ne me livrez pas aux superbes qui me calomnient : et je pourrai répondre à ceux qui m’insultent.
SECRÈTE Dans la Collecte d’introduction à l’anaphore consécratoire nous supplions le Seigneur de faire que sa Grâce nous rende dignes d’accomplir à l’autel le saint ministère sacerdotal, afin de consommer ensuite dans l’éternité, par la vision béatifique, cette possession eucharistique de Dieu, à laquelle nous initie ici-bas la liturgie du temps présent. Præsta nobis, miséricors Deus : ut digne tuis servíre semper altáribus mereámur ; et eórum perpétua participatióne salvári. Per Dominum nostrum Iesum Christum Filium tuum, qui tecum vivit et regnat, in unitate Spiritus Sancti, Deus, per omnia saecula saeculorum. Amen.
Accordez-nous, ô Dieu de miséricorde, que nous méritions de servir toujours dignement à vos autels et que nous soyons sauvés par la continuelle participation à ces mêmes sacrifices. Par Notre-Seigneur Jésus-Christ, qui, étant Dieu, vit et règne avec Vous, en l’unité du Saint-Esprit, dans tous les siècles des siècles. Ainsi soit-il.
Mémoire de Notre-Dame des Sept-Douleurs Offérimus tibi preces et hóstias, Dómine Iesu Christe, humiliter supplicántes : ut, qui Transfixiónem dulcíssimi spíritus beátæ Maríæ, Matris tuæ, précibus recensémus ; suo suorúmque sub Cruce Sanctórum consórtium multiplicáto piíssimo intervéntu, méritis mortis tuæ, méritum cum beátis habeámus : Qui vivis…
Seigneur Jésus-Christ, nous Vous offrons ces prières et ces hosties, en suppliant humblement de faire que, nous qui nous rappelons dans nos prières que l’âme très douce de la Bienheureuse Marie, votre Mère fut transpercée : nous méritions, grâce à sa très miséricordieuse intervention jointe à celle des Saints qui l’accompagnaient au pied de la Croix, d’avoir part avec les Bienheureux aux mérites de votre mort : Vous qui étant Dieu, vivez et régnez…
PRÉFACE DE LA SAINTE CROIX La Préface suivante est dite : a) comme Préface propre aux Messes du Temps du 1er Dimanche de la Passion jusqu’au Jeudi en la Cène du Seigneur ; aux Messes tant festives que votives de la Sainte Croix, de la Passion du Seigneur et d’un instrument de la Passion du Seigneur, du très précieux Sang de N.S. Jésus-Christ, du Très Saint Rédempteur ; b) comme Préface du Temps à toutes les Messes du Temps du 1er Dimanche de la Passion jusqu’au Mercredi de la Semaine Sainte qui n’ont pas de Préface propre.
Vere dignum et iustum est, æquum et salutáre, nos tibi semper et ubíque grátias ágere : Dómine, sancte Pater, omnípotens ætérne Deus :
Il est vraiment juste et nécessaire, c’est notre devoir et c’est notre salut, de Vous rendre grâces toujours et partout, Seigneur, Père Saint, Dieu Éternel et Tout-Puissant : Qui salútem humáni géneris in ligno Crucis constituísti : ut, unde mors oriebátur, inde vita resúrgeret : et, qui in ligno vincébat, in ligno quoque vincerétur : per Christum Dóminum nostrum.
Vous avez placé le Salut du genre humain dans le bois de la Croix : pour, là-même où la mort été née, y faire surgir la Vie : et pour que Celui qui vainquit par le bois, fut aussi vaincu par le bois : par le Christ Notre Seigneur. Per quem maiestátem tuam laudant Angeli, adórant Dominatiónes, tremunt Potestátes. Cæli cælorúmque Virtútes ac beáta Séraphim sócia exsultatióne concélebrant. Cum quibus et nostras voces ut admítti iúbeas, deprecámur, súpplici confessióne dicentes.
Par Lui les Anges louent votre Majesté, les Dominations Vous adorent, les Puissances se prosternent en tremblant. Les Cieux, les Vertus des cieux et les bienheureux Séraphins La célèbrent, unis dans une même allégresse. A leurs chants, nous Vous prions, laissez se joindre aussi nos voix pour proclamer dans une humble louange.
COMMUNION (psaume 26, 12) Le verset pour la Communion est tiré du Psaume 26 : c’est le Christ qui supplie de ne pas être définitivement livré à la merci de ses adversaires et sans espoir de revanche. Ne tradíderis me. Dómine, in animas persequéntium me : quóniam insurrexérunt in me testes iníqui, et mentíta est iníquitas sibi.
Ne me livrez pas ; Seigneur, à la merci de ceux qui me persécutent : des témoins iniques se sont élevés contre moi et l’iniquité a menti contre elle-même.
POSTCOMMUNION Dans la Collecte après la Sainte Communion, nous supplions Dieu que jamais ne nous manque — en raison de notre paresse ou de notre dissipation — l’efficacité du Sacrement auquel nous avons participé, afin qu’il éloigne tout ce qui pourrait nuire à notre âme. Après la Communion, il faut continuer à vivre de l’esprit eucharistique, de façon à prolonger cette communion spirituelle de l’âme intimement unie à Jésus durant toute la vie. Sumpti sacrifícii, Dómine, perpetua nos tuítio non derelínquat : et nóxia semper a nobis cuncta depéllat. Per Dominum nostrum Iesum Christum Filium tuum, qui tecum vivit et regnat, in unitate Spiritus Sancti, Deus, per omnia saecula saeculorum. Amen.
Que la constante protection de ce Sacrifice dont nous avons reçu la Victime, ne nous fasse point défaut, ô Seigneur, et qu’elle écarte sans cesse de nous tout ce qui pourrait nous nuire. Par Notre-Seigneur Jésus-Christ, qui, étant Dieu, vit et règne avec Vous, en l’unité du Saint-Esprit, dans tous les siècles des siècles. Ainsi soit-il.
Mémoire de Notre-Dame des Sept-Douleurs Sacrifícia, quæ súmpsimus, Dómine Iesu Christe, Transfixiónem Matris tuæ et Vírginis devóte celebrántes : nobis ímpetrent apud cleméntiam tuam omnis boni salutáris efféctum : Qui vivis…
Que le Sacrifice auquel nous avons communié, Seigneur Jésus-Christ, en célébrant avec dévotion la transfixion de la Vierge, votre Mère, nous obtienne de votre clémence le plein effet de votre œuvre de Salut : Vous qui étant Dieu, vivez et régnez…
ORAISON SUR LE PEUPLE La Bénédiction avant de congédier le peuple est la même que le Mercredi après le Troisième Dimanche de Carême Orémus : Humiliáte cápita vestra Deo.
Prions : Humiliez vos têtes devant Dieu. Concéde, quǽsumus, omnípotens Deus : ut, qui protectiónis tuæ grátiam quǽrimus, liberáti a malis ómnibus, secúra tibi mente serviámus. Per Dominum nostrum Iesum Christum Filium tuum, qui tecum vivit et regnat, in unitate Spiritus Sancti, Deus, per omnia saecula saeculorum. Amen.
Faites, nous Vous en supplions, Dieu tout-puissant, que nous qui recherchons la faveur de votre protection, nous Vous servions d’une âme confiante, étant délivrés de tous les maux. Par Notre-Seigneur Jésus-Christ, qui, étant Dieu, vit et règne avec Vous, en l’unité du Saint-Esprit, dans tous les siècles des siècles. Ainsi soit-il.